Ma maman préparait beaucoup de gâteaux. J’adorais remuer dans la casserole et puis, évidemment, lécher la cuillère en bois. Je me suis très vite intéressé à ce métier.

À 11/12 ans, j'ai eu la chance de rencontrer Régis Ferey, alors chef pâtissier de l’Élysée.
Il m’a fait faire le tour des cuisines. J’ai découvert la vie de brigade, tous ces cuivres magnifiques… J’ai eu la chance de repartir avec une des deux tartes chocolat faites pour Jacques Chirac. 

J'ai suivi une formation et dès mes 15 ans j'étais en apprentissage. J'ai commencé à apprendre les bases du métier en boutique mais j'étais déjà intimement convaincu que c'était la pâtisserie de Palace qui me convenait.

J'ai eu la chance de rejoindre le projet de Cheval Blanc Paris dès 2019, afin de participer à la création et à la préparation de l'ouverture. Aux côtés de Maxime Frédéric et de nos 65 Ambassadeurs, nous avons à coeur de pâtisser pour le plaisir.

Si on arrive à se faire plaisir, on va forcément faire plaisir au client.

Ma maman préparait beaucoup de gâteaux. J’adorais remuer dans la casserole et puis, évidemment, lécher la cuillère en bois. Je me suis très vite intéressé à ce métier.

À 11/12 ans, j'ai eu la chance de rencontrer Régis Ferey, alors chef pâtissier de l’Élysée.
Il m’a fait faire le tour des cuisines. J’ai découvert la vie de brigade, tous ces cuivres magnifiques… J’ai eu la chance de repartir avec une des deux tartes chocolat faites pour Jacques Chirac. 

J'ai suivi une formation et dès mes 15 ans j'étais en apprentissage. J'ai commencé à apprendre les bases du métier en boutique mais j'étais déjà intimement convaincu que c'était la pâtisserie de Palace qui me convenait.

J'ai eu la chance de rejoindre le projet de Cheval Blanc Paris dès 2019, afin de participer à la création et à la préparation de l'ouverture. Aux côtés de Maxime Frédéric et de nos 65 Ambassadeurs, nous avons à coeur de pâtisser pour le plaisir.

Si on arrive à se faire plaisir, on va forcément faire plaisir au client.