L'appel du vent frais à travers les fenêtres baignées de lumière. L'esprit alpin niché dans le moindre recoin ourlé de velours, dans le moindre objet malicieux.

Soucis enfouis. Sous la montagne d'oreillers douillets. Un sanctuaire pour les esprits alpins, où les coucous chantent les heures un peu plus lentement, au rythme des flocons qui tombent avec paresse sur la poudreuse des balcons.

S'étirer en flocon étoilé dans les draps blancs. Paresser, somnoler. S'abandonner à la douceur de vivre au cœur d'un spacieux cocon de sérénité.

Rêves à la douceur ouatée. Réveils à la candeur sucrée. Le terrain de jeu préféré des petits et des grands pour prendre sa revanche d'une bataille de boules de neige avec quelques oreillers moelleux.

Deux étages de parenthèse hivernale au sommet. Une montagne d'oreillers et quelques nuages duveteux, le cocon rêvé pour se ressourcer au cœur du Jardin Alpin.

S'illuminer d'une palette de tons chocolats enveloppants et de houx écarlates. S'ouvrir sur de généreux espaces côtoyant les cimes enneigées. S'initier aux secrets de l'aube et du crépuscule.

Une épopée hivernale racontée sur quatre étages. Un royaume enneigé pour les tribus à skis. Quelques pingouins par-ci, quelques oursons par-là. De malicieuses petites créatures des bois en guise de bienvenue à la maison.

Le secret le mieux gardé de Courchevel. L'élégance alpine à son paroxysme. L'épitome de l'Art de Recevoir de Cheval Blanc.